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La Dame du Falgueyret
1 avril 2021

Lecture

sans héritage 1    

 

Résumé de quatrième de couverture :

"Voici Lucien Louis Marie Fréreux, né en 1900, au hameau de la Pardaille dans le Lot et Garonne. Il vit simplement, comme un petit paysan. C’est un garçon doux et profond, qui vacille parfois, envahi par des peurs, des sensations étranges qu’il ne sait pas nommer. Il est le fruit d’une relation brève et secrète entre la jeune Félicité Fréreux et Yves Raversi, son professeur à l’académie de peinture de Rennes. En 1900, les temps sont difficiles pour les filles-mères : « Je l’ai donné à mon frère comme on donne un chiot ». En mai 1913, les parents de Lucien meurent, écrasés par une voiture. Lucien est recueilli par Félicité – qu’il croit être sa tante – et son mari, Constant Moine, qui vient le chercher à la Perdaille. Commence alors pour Lucien, un voyage à travers la France, un voyage à travers les secrets de sa famille, un voyage à travers le siècle."

 

Mon avis

Ce qui m'a incité à acheter les quatre premiers de la vingtaine de tomes de ce roman est ce qui est écrit au-dessus du résumé : "Une grande histoire familiale" et "Un heureux moment de lecture"...

Alors je n'avais pas d'attente particulière mais j'ai été susprise quand même par ce premier tome. C'est bien écrit, certes, me faisant penser à la plume de Marcel Pagnol dans "Le Château de ma mère" et "La Gloire de mon Père". Mais il ne se passe pas grand chose.

C'est d' une lecture agréable si on excepte quelques longueurs ; cependant, si je n'avais pas eu les trois  tomes suivants, je me serais arrêtée là. Mais peut-être la suite réserve-t-elle des surprises ?

Je verrais bien ceci en film... L'époque s"y prête

phrases au sujet de "A la Recherche du Temps Perdu"  de Proust que Tante Félicité a lu dans les pages du Figaro, p.218

" C'est bien un titre d'homme ! dit Germaine. Jamais une femme n'aurait eu cette idée. Nous qui avons tant à faire et qui n'avons jamais assez de temps. Quand je pense que certains regardent les heures passer comme si elles n'allaient jamais finir et d'autres comme mon Théophile qui ne voit pas le temps quand il forge ses fantaisies pour son plaisir. Les heures ne sont pas les mêmes pour tout le monde, j'vous le dis. Heureusement qu'il y a la cloche de l'église et puis notre estomac qui crie famine pour nous rappeler que les heures ont un nom. Ce serait l'anarchie sinon... pas vrai ?"

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