Le parc et le bois de La Sauque forment avec les bâtiments un ensemble assez rare de près de 30 hectares. Cet environnement se prête admirablement à la promenade. Il est une réponse à une quête éperdue d’un espace de respiration et de délassement.
Déjà, sur des vues de la fin du XIXème siècle, on pouvait remarquer de beaux spécimens – cyprès, pins, cèdres, ifs et autres résineux – dont il ne reste que quelques survivants aujourd’hui. Lors de son achat en 1943 grâce à l’abbé Guilgault, le château est une demeure délabrée, mais le parc « à l’anglaise », ombragé de cèdres centenaires, est particulièrement mis à profit par l’aménagement sur ses prairies des terrains de foot, de basket, de volley. D’ailleurs, d’autres possibilités sont offertes : cultures, grands jeux dans le bois attenant au parc, baignades dans le « Saucats » qui borde la propriété.
Le parc et son bois sont indissociables. L’un et l’autre s’inscrivent dans l’histoire déjà ancienne d’un domaine prestigieux, abritant un lycée dont la réputation n’est plus à faire.